Mumbai - Ramdas Ashram – Allephy - Amma ashram – Poovar - Kankyakumari – Madurai – Tanjore – Kumbhakonam – Tiruvanamalai - Aouroville – Puducherry – Mahabalipuram – Chennai – Mumbai depart
Né en 1956, Jacques Vigne s’est d’abord passionné pour les mathématiques, il s’est ensuite tourné vers des études de médecine et de psychiatrie à Paris. Il a ensuite exercé pendant un certain temps en Algérie, puis il a obtenu, en tant que psychiatre, une bourse de recherche de la Fondation Romain Rolland et de la Maison des Sciences de l’Homme pour étudier en Inde les rapports entre la guérison psychologique et l’enseignement traditionnel du yoga.
Il vit depuis 28 ans en Inde, où il partage son temps entre un ‘ashram’ sur les bords du Gange près d’Hardwar et un ermitage à 2000 mètres en Himalaya. De plus, il écrit de nombreux livres de portée scientifique et spirituelle, qui font le lien entre l’Orient et l’Occident.
Jacques Vigne est l’auteur d’ouvrages majeurs. Dans ses écrits il est particulièrement attentif à établir des ponts entre la psychologie moderne et la spiritualité, et entre les pratiques de sagesse de l’Inde et le christianisme. On trouvera beaucoup de ses articles sur son site www.jacquesvigne.com Coordination et organisation comme assistante bénévole du Dr Jacques Vigne Pour ses tournées et ses programmes
Geneviève Koevoets (Mahâjyoti) : koevoetsg@orange.fr
Ce tour nous mènera au Tamil-Nadou ainsi qu’au Kerala et nous prendrons plus de temps pour la cure ayurvédique tout au sud du Kérala, près de la pointe de l’Inde, et pour la retraite près de l’ashram de Ramana Marharshi à Tiruvanamalai. La littérature tamoule est une des plus anciennes du monde, les tamouls actuels pouvant lire sans apprentissage spécial des textes du troisième siècle avant J.-C. Pour le français ou l’anglais, cela est simplement possible à partir du XIII e ou du XVe siècle de notre ère. La culture sanskrite y est aussi très ancienne, et de plus, les grands temples n’ont été bien mieux conservés que dans le Nord. Il y a eu beaucoup moins d’invasion musulmane, donc beaucoup moins de destructions. Les ashrams sont très présents dans le paysage du Tamil-Nadou, il y a eu une forte présence jaïns et bouddhiste jusqu’en l’an 1000 environ, mais maintenant l’hindouisme domine, avec comme branches principales le shivaïsme, le vishnouïsme et un peu de tantrisme. Les ashrams de Ramana Maharshi, de Shrî Aurobindo ou du Shankarachârya de Kanchipuram sont reconnus internationalement. L’hindouisme est caractérisé par le pluralisme dans l’unité, ce qui contribue également à expliquer la réussite de l’Inde comme la plus grande démocratie du monde. En mai 2014, 550 millions d’électeurs se sont exprimés. Le Kerala n’a qu’un tiers d’hindous, par rapport à un tiers de musulmans et un tiers de chrétiens. Il y a une forte tradition brahmane traditionnelle, mais aussi avec des formes de pratiques plus ouvertes telles qu’on peut les voir dans l’ashram de Swami Ramdas dans le nord que nous visiterons. Jacques Vigne qui vit depuis 30 ans en Inde nous enseignera moins par des conférences formelles que par des réponses aux questions et des commentaires sur ce que nous visiterons tout au long du voyage. Sauf exceptions dues aux aléas rencontrés, nous aurons avec lui une séance de méditation guidée quotidienne.
Logement dans l’hôtel, qui est au sud de Marina Beach juste en face de la baie de Mumbai et proche de la célèbre Choupati Beach.
Nuit à Mumbai.
12h15 : Vol à destination de Mangalore
13h40 arrivée à Mangalore
Mangalore au nord du Kérala à la frontière avec le Karnataka. De là, nous nous rendrons en trois heures de taxi vers le sud à l’ashram de Swami Ramdas, l’auteur des Carnets de Pèlerinage (Albin Michel) et qu’Arnaud Desjardins a présenté dans son film Ashrams. Après la mort de Krishnabai et de Sachidananda, il y a maintenant Muktananda qui s’occupe de l’ashram avec beaucoup de dynamisme. Contrairement à d’autres ashrams qui ont une politique d’expansion parfois à tout prix, l’institution de « Papa » Ramdas est demeurée de taille familiale. On y baigne dans le mantra de Ram comme dans un fleuve sans cesse renouvelé, et pourtant immobile. Il y a, a priori, un satsang (rencontre) par jour avec Swami Muktananda.
Nuit à Ashram de Ramdas
Nous plongerons plus profondément dans le fleuve du mantra Om Shrî Râm, jay Râm jayjay Râm.
Nuit à Ashram de Ramdas
Nous continuerons nos pratiques à l’ashram.
Nuit à Ashram de Ramdas
Une troisième journée sous les cocotiers de l’ashram, et probablement l’esprit plus en paix qu’au moment de l’arrivée avant d’aller prendre le train de nuit dans la petite gare pittoresque de Kanhangarh.
Nuit dans le train
Les canaux et lagunes du Kerala sont célèbres, c’est un réseau en tout de 2400km, qui permet d’admirer la nature tropicale et les cases sous les cocotiers, en passant parfois à quelques mètres seulement d’elles. Le rythme lent de ce mode de transport au milieu de la verdure est reposant et méditatif après tout le trajet en car sur les routes encombrées de l’Inde. Il s’agit à juste titre d’une des grandes attractions du Kerala. Nous visiterons en passant l’ashram de Ma Amritanandamayi, mais ne resteront pas.
Après avoir éveillé de grands espoirs chez les gens, elle est maintenant entourée de scandales, en particulier celui de faire la quête de par le monde pour les pauvres de l’Inde et de ne leur en redistribuer qu’une toute petite proportion, nous continuerons en car vers Pouar.
Nuit à Poovar.
Il s’agit d’un centre ayurvédique en bord de mer ou nous passerons deux jours et demi avec trois sessions de massage d’une heure et demi, une par jour, plus du hatha-yoga le matin et deux sessions de méditation avec Jacques Vigne.
Nuit à Poovar.
Route en autocar vers le sud Kanyakumari (Cap Comorin) la pointe sud de l’Inde, à la rencontre des trois mers, l’Océan Indien, le Golfe du Bengale et la Mer d’Arabie. Le lieu est illustré par un temple de la déesse en tant que vierge, kanya, et aussi par un mémorial sur un îlot au-delà du Cap lui-même, consacré au souvenir de Swami Vivekananda qui est venu y méditer en 1892. Il y a contemplé l’avenir de l’Inde et son indépendance, qui est finalement survenue un peu plus d’un demi-siècle plus tard.
Nuit à Kanyakumari.
Le nom Madurai vient de madhura qui signifie nectar, on dit que la cité est née d’une goutte de nectar tombée de la chevelure de Shiva. En tous les cas, elle représente la seconde ville de l’état, son existence est attestée déjà au 5 e siècle avant l’ère commune, c’est donc une contemporaine de Rome. Le temple à la déesse Minakshi est comme une ville dans la ville, avec ses marchés et ses déambulatoires où les foules se pressent. Nous nous laisserons absorber par ce monde sacré…pour en ressortir différents! Nous visiterons aussi à 200m du temple la maison émouvante où Ramana Maharshi a eu l’expérience du Soi, alors qu’il n’avait que 15 ans et que rien ne semblait le prédisposer à cela. L’après-midi sera libre, Madurai est éputée pour ses tissus. Nous dînerons tôt à l’hôtel et irons assister au rituel festif du soir, qui honore en grande pompe à la fois la déesse Minakshi et son époux Shiva.
Nuit à Madurai.
Tanjore est doté du plus grand temple de l’Inde datant de l’an mille, Brihadeshwar, nom qui signifie « le grand dieu », en l’occurrence Shiva, avec de multiples sculptures dans la grande tradition des temples tamoul. C’est un joyau de l’art Chola, une dynastie qui a dominé autour de l’an 1000 tout l’est de l’Inde et une partie du Sri Lanka. Le palais royal du XVIIe-XVIIIe siècle contient aussi le seul musée que nous aurons l’occasion de visiter sur notre itinéraire, avec de magnifiques bronzes et statues médiévales.
Nuit à Kumbhakonam.
Visite de l’ashram et du temple de Tiruvanamalai dans la soirée départ direct pour Chennai, le samedi matin de bonne heure, vol dans l’après-midi pour Mumbai et le soir pour la France. Arrivée le dimanche 6 novembre au matin à Paris
Nuit à Tiruvanamalai.
Nuit à Tiruvanamalai.
retraite le matin, visite du temple dans l’après-midi et arati du soir à l’ashram de Ramana Maharshi. Nous effectuerons quelques visites de lieux sacrés. Nous ne résiderons pas à la ashram de Râmana Maharshi lui-même qui accepte difficilement les groupes, mais dans un hôtel paisible en pleine campagne un peu plus loin. A Tiruvanamalai se trouve un des plus grands temples à Shiva de l’Inde au pied de la montagne sacrée d’Arunachala, nom qui signifie ‘la montagne rouge’ et qui est associé à l’élément feu. Les bâtiments du temple sont principalement du XVe et XVIe siècle, mais emplacement est beaucoup plus ancien. Le sage védantin Râmana Maharshi est venu à Arunachala à l'âge de 15 ans, et n"a pas quitté la montagne sainte jusqu'à son décès à l'âge de 72 ans en 1950. Il enseigna toute sa vie une forme de védanta simple centrée sur la question : « Qui suis-je ? »
Nuit à Tiruvanamalai.
Pradakshina, cad tour de la montagne sacré, une douzaine de kilomètres en plat en 4h. Repos l’après-midi et dernière méditation de la retraite de Tiruvanamalai.
Nuit à Tiruvanamalai.
Nuit à Tiruvanamalai.
Au nord de Pondichéry, à 15km se trouve la forêt dense Auroville qui a été plantée par des enthousiastes d’écologie sur une terre de latérite rouge qui était plutôt stérile il y a 40 ans. Cette grande commune de 3000 habitants est née d'une vision de ‘la Mère’ de Pondichéry et a été fondée en 1968. Une exposition bien montée nous fait sentir histoire et les aspirations de cette ville qui voudrait être idéale. Nous verrons l’extérieur de la sphère, mais pas l’intérieur car l’administration d’Auroville demande de remplir des tas de papiers pour cela, ce qui est sans doute le seul cas de ce genre en Inde. Nous visiterons en fin d’après-midi la ville blanche de Pondichéry, une des rares colonies françaises en Inde, et l’ashram de Shri Aurobindo, un des grands sages de l’Inde du XXe siècle. Nous nous recueillerons auprès de son samadhi.
Nuit à Pondicherry.
Mahabalipuram a été développé comme un port de commerce par les Palavas au VIIe siècle de l’è.c. En plus d’une belle plage et de temples petits, mais anciens et beaux, cette bourgade recèle le plus grand bas-relief de l’Inde de cette époque, La descente du Gange qui illustre de façon très vivante de multiples scènes du Mahabharata. Dans ce sens, Mahabalipuram est devenue aussi une capitale des sculpteurs traditionnels indiens et on peut y acquérir nombre de statues intéressantes.
Nuit à Mahabalipuram.
Nous prendrons l’avion pour Mumbai de l’aéroport de Chennai, qui est à l’ouest de la ville.
Le matin, nous irons visiter l’île d’Elephanta avec sa célèbre Trimurti du VIIe siècle dans une grotte qui avait inspiré au plus haut point André Malraux. En début d’après-midi, nous visiterons le Prince of Wales Muséum qui est tout proche du débarcadère pour Elephanta et qui recèle de fort belles pièces. Seconde moitié de l’après-midi pour les dernières courses.
Après un dîner d’adieu, départ pour la France.
Fin des services.
Remarque : Le poids du bagage enregistré est limité à 15 kg sur les lignes intérieures en Inde. Le supplément à payer est à la charge du passager.
Conditions d’annulation :
Les voyages réservés et ensuite annulés s’appliquent les frais d’annulation suivants.
Engagements
Nous suggérons aux membres des groupes de souscrire une assurance individuelle de voyage, médicale et d’autres types. Elles ne peuvent être obtenues en Inde. Ce qui est proposé ci-dessus peut être sujet à des modifications si les transporteurs ou les hôteliers modifient leurs tarifs avant le début du voyage avec TeerthTravelsPvt.LtdHaridwar (India) Bien qu’organisant le voyage, les transports, les réservations des hôtels et autres services, TeerthTravels agit uniquement comme agent de voyage, il est clair qu’ils ne sont en aucun cas responsables d’un quelconque accident, dégât, perte, retard, ou inconvénient en relation avec les prestations organisées par l’entreprise, ses employés, ou ses agents. Toutes les réservations sont acceptées et exécutées avec le plus grand soin, malgré cela, il est possible qu’il y ait des changements et des modifications de dernière minute dus à des facteurs hors de notre contrôle.
Démarches préalables : Visa pour l’Inde : n’attendez pas la dernière minute, les demandes par correspondance surtout peuvent être assez lentes. On ne fait plus les visas à l'ambassade de l'Inde, mais à Visa France Service Ltd 42 rue de Paradis 75010 Paris www.vfs-in-fr.com 0821 090009 ou 08 9264 00 87, avec des services à Marseille, Bordeaux, Lyon, Strasbourg, Toulouse, Lille et Nice. Télécharger le formulaire en ligne, envoyer un chèque certifié par la banque, sinon ils vous le renverront, plus deux photos d'identité couleur sur fond blanc 5cmx5cm, photocopie de la page de garde du passeport avec la photo, et un passeport valide plus de six mois après la fin du voyage et encore trois pages vierges.
Billets d’avion : les participants les prendront via Equateur voyages, avec le tarif de groupe. Voir le contact à la fin de ce document. Qu’ils soient attentifs à avoir une ASSURANCE INDIVIDUELLE efficace pour le voyage, souvent les agents proposent les compagnies ELVIA ou TMS par exemple. Sur place, les compagnies de transports ont leurs propres assurances, et l’agent de voyage a sa responsabilité limitée au fait d’aider le contact avec les assurances françaises pour traiter et éventuellement rapatrier un malade ou un accidenté.
Côté bagages : la limite pour l’Inde est fixée à 20 kilos par personne. Si on a la carte ‘Flying Blue’ Air France autorise jusqu’à 30 kilosn et Air India directement même sans carte Un gros sac trolley à roulettes, solide, est l’idéal car cela pèse moins lourd que les valises, il y aura de temps en temps à rouler celles-ci.
Affaires à emporter :
Indispensables :
Chaussures faciles à déchausser (pour visites…).
Serviettes de toilette légères du genre nids d’abeilles et gants éponges (si ashrams)
Lingettes désinfectantes (pour toilette, mains et objets).
Boules Quies – Petit réveil – Lampe de poche électrique.
Lunettes de soleil – crème solaire – un petit chapeau.
Anti-moustiques (pour la peau et pour les vêtements. En crème et/ou en petites bombes, chez le pharmacien ou en phytothérapie).
Vêtements amples, à manches longues de préférence, en tissus naturels.
Un sac à dos léger (bagage à main) et pour tous les jours…
Facultatif (en fonction du voyage choisi):
Résistance pour chauffer l’eau (café, tisane, bouillotte) dans un grand verre, ou timbale haute.
Dictionnaire de poche français/anglais.
Kit adaptateur universel pour prise de courant.
Prise anti-moustiques (on en trouve aussi en Inde). En général, il n’y en a pas besoin dans les hôtels avec air conditionné où nous irons dans les villes, mais cela peut être utile dans les ashrams.
Quelques bougies (anti-moustiques à la citronnelle de préférence) en cas de panne.
Un cadenas et une longue chaîne (résistante mais pas trop lourde, pour attacher les bagages pendant qu’on dort dans le train), car il y a des rideaux mais pas de portes.
Un petit parapluie pliant (ne servira guère en octobre ou novembre dans le nord, mais par contre cela servira pendant la même saison au Tamil-nadou, où c'est la période de la mousson annuelle).
Un drap léger (cousu) ou ce qu’on appelle un ‘sac à viande’ (on en trouve tout fait dans les boutiques de sport/montagne, en coton léger, ou en soie). Nous serons dans de bons hôtels*** confortables mais le ‘sac à viande’ sera surtout valable en ashrams. Même dans des hôtels d'assez bonnes catégories, la coutume en Inde et de ne pas fournir le drap de dessus.
Une taie d’oreiller est également utile et des essuie-mains + gants éponge.
Tout ceci est à adapter en fonction du type de voyage.
Côté santé :Vaccinations, etc. Elles sont conseillées mais non obligatoires : DTP (diphtérie-tétanos-polio). Le vaccin contre l’hépatite A est recommandé pour ceux qui n’ont jamais été en zone tropicale.
Le vaccin de l’hépatite B est sujet à controverse, il n’y a de toutes façons que très peu de chances de la contracter en un voyage de quinze jours, la contamination passant par le sang. Pas besoin de prendre les médicaments de prévention antipaludéenne, par contre un spray anti-moustiques à appliquer le soir et la nuit est vivement conseillé.
Prévention des phlébites avant les longs voyages aériens. Tous les médecins ne conseillent pas cette prévention s’il n’y a pas de facteurs de risques clairs, mais Jacques Vigne pense qu’elle devrait être effectuée assez largement car elle est plutôt inoffensive. (Les phlébites peuvent mener à des thromboses et à des embolies pulmonaires fatales). Il s’agit de prendre 250mg d’Aspirine si possible sous forme pulvérisée ou effervescente pour éviter les effets secondaires à type de douleurs gastriques, chaque jour pendant une semaine avant le voyage en avion et de continuer une journée après. Il est également recommandé en avion de : porter des bas ou chaussettes de contention, de se lever souvent de son siège, de se dégourdir les jambes par quelques exercices et de boire de l’eau. Pour ceux qui ont des antécédents de phlébites ou une surcharge pondérale, mieux vaut consulter votre médecin et prendre une piqûre d'héparine juste avant le voyage d’aller, et une autre juste avant celui du retour. C'est en fait plus efficace que l'aspirine.
Prenez quelques médicaments de précaution de votre choix (voir avec votre médecin) : quelques pommades (antibiotiques, à la cortisone, désinfectantes, coups et brûlures, petits pansements, etc…). Pensez à votre petit ventre et à emmener de l’Intétrix (Tiliquinol) – 2 capsules matin et soir pendant 5 ou 10 jours sur place. C’est un anti diarrhéique qui soigne à la fois les bactéries et les amibes. Sinon le Nifuroxamine (générique, nom de marque Nifluryl). Ou encore l’Ercéfuryl 200 (désinfectant intestinal). Et suppositoires à la glycérine en cas d’effet contraire ! Pensez à l’hygiène, à éviter l'eau du robinet et les fruits ou légumes crus, et tout ira bien. Enfin ultime conseil : 1 comprimés d’ULTRA LEVURE ou d’un autre probiotique tous les matins en prévention durant tout le voyage. Ils n’ont pas d’effets secondaires.
Renseignez-vous auprès de votre médecin si vous tenez à faire certains vaccins+traitement contre le paludisme (SAVARINE). Ce n’est pas du tout une obligation. Jacques Vigne ne le préconise pas. Les endroits visités ne sont pas si impaludés que cela et la meilleure méthode est de bien se protéger, surtout à la tombée de la nuit, avec des répulsifs (Type ‘5/5 Zones Infectées’ chez le pharmacien, ou ‘Mousti-Fluid’, ou les confections à base de Pyrel). On trouve aussi en Inde ‘l’Odomos’. C'est ce que prend Jacques Vigne depuis 20 ans en Inde et il n'a jamais souffert de paludisme.
Un dernier petit truc contre les moustiques : on conseille de prendre du BENERVA ROCHE (c’est de la Vitamine B1 en comprimés enrobés à la dose élevée de 250mg). Un comprimé par jour. Cette Vitamine B1, ainsi concentrée, donne au corps une fragrance que les moustiques n’aiment pas !
Pour commencer à préparer ce voyage :
L’enseignement des sages de l’Inde est pénétré d’une psychologie profonde, pour cela la collection de Spiritualité d’Albin Michel est riche, avec y compris les enseignements de Râmana Maharshi et de Mâ Anandamayi. Pour les débutants ‘Les Yogas Pratiques de Vivékananda’ peuvent donner une grande ouverture. Ceux qui sont intéressés par le védanta trouveront les livres pleins de clarté et d’énergie de Nisargadatta Maharaj aux Editons Les Deux Océans. Chez le même éditeur, on trouvera ‘Râmana Maharshi et le chemin de la connaissance de soi’ par Arthur Osborne, une biographie classique par un disciple anglais proche, qui nous permet de percevoir comment la sagesse de la non dualité peut s'appliquer au quotidien.
Deux livres de Vijayananda sont maintenant disponibles sur la section française de www.anandamayi.org comme ‘Un Français dans l’Himalaya’. Il y donne de multiples renseignements importants sur la psychologie de la pratique du Yoga et de la méditation, qu’il a commencée en France il y a plus de 70 ans et en Inde il y a 54 ans auprès de Mâ Anandamayî. Vijayânanda était médecin généraliste en France et avait un intérêt certain pour la psychiatrie et la compréhension de la psychopathologie. On trouvera aussi sur le site son second livre qui lui, n'a pas été publié sur papier, ‘Un chemin de joie’